Forum Arkhan

Un nouvelle holoring ! Enfin, les informations attendues ?
Ronce dut rapidement déchanter ! C'était Olira ou Nadiril ou  .... Bref quelque soit son vrai nom, c'était la voleuse midinette de la Garde Franche. Peut-être avait-elle des informations. De toute manière, il faudrait qu'il la recontacte prochainement pour la tenir au courant ! Et cette rose commençait à sérieusement lui martyriser la poitrine !

Ohlalaaaa ça se prolonge ! Il est im-mense ce château !
Elle met sa main en visière et cligne des yeux.
Bon, j'ai toujours pas trouvé la chambre de la princesse Bren. Y a pleeein de portes fermées tout ça mais sinon rien. Par contre y a des hall partooout c'est grand !
Ah et puis Elle fait un clin d'œil et tire un bout de langue, genre c'est la super révélation secrète Kordoch est aussi sur le coup hein. Il râle un peu parce que je te le propose gratuitement, mais franch'ment, un garçon amoureux c'est teeeeeeellement choupi, je pouvais pas résister.
Je te ringuerai si je trouve la piaule de la roul... euh de la princesse aux milles culottes okay !

Dernière modification par Ronce (20-08-2009 11:31:39)

Au gré de ses errances dans cet immense château, Kao finit par arriver devant 2 portes immenses. Et vu les dimensions du palais, elles devaient être vraiment immenses pour paraitre si grandes (ouais, c'est pas très clair).
Seul problème, devant cette porte, deux gardes.
Mais son apparence de laquais semblait donner le change. Ils se contentèrent donc de l'interpeller, étant donné que personne ne requérait sa présence dans la salle du trône.
"Intéressant" pensa-t-il
Puis, pour justifier sa présence il joua la carte du jeune serviteur nouvellement recruté et complètement paniqué par les affrontements.

"M-m-mais on-on m-m'a dit que la p-princesse désirait un rafraichissement."

Puis faisant semblant de se rendre compte tout a coup qu'il avait les mains vides. Encore plus rouge :

"Oh nan nan nan. C-c-c'est pas possible. Maudits Antoniens. I-i-ils m'ont poursuivit et j'ai lâché mon plateau"
"Ho non, l'intendant vas me tuer." je me retourne, fais trois pas, puis je reviens vers les gardes avec un regard suppliant "D-dites, v-v-vous ne sauriez pas ou est la Princesse que je lui apporte ses rafraichissements au plus vite".

Les gardes éclatèrent de rire et indiquèrent le chemin tout en se moquant du jeune homme.

En retournant aux cuisines, Kao passa devant les escaliers qui montaient à l'étage. Pas moins cinq gardes étaient postés devant. Il allait falloir ruser. Encore.

Kao

Après avoir mendié parmi les Belerins de passage, qui étaient bien plus sympathiques qu'il aurait pu le croire au premier abord, Kain avait réuni la somme abyssale exigée par Hanley. Il lui remit en grinçant des dents les sous, alors qu'il aurait aimé lui donner de la lame de son yatagan à la place.

Vous êtes bien généreux, merci infiniment ! Le prince Gaïus était donc accompagné de Calligus Roaney, conseiller du roi et membre de la communauté des marchands de Belerim lorsqu'il est allé choisir son arme à l'armurerie du palais avant le duel. Vous la trouverez un peu plus loin. Ah, et pour le conseiller, vous trouverez sa maison non loin du palais.


Enfin une piste sérieuse! Ca avait couté cher mais ca valait le coup. Aussitôt Kain envoya la réponse par holoring à tous ceux qui l'avaient aidé à réunir cette somme monumentale, et qui commençaient à se demander ce que devenaient leurs sous.

Sur ce il partit dans la direction indiquée, chercher l'armurerie. Malheureusement il se perdit à nouveau, et arriva dans un jardin intérieur au palais qui n'avait absolument pas une tête d'armurerie. Il commençait à en avoir profondément marre, le palais était trop grand, trop incompréhensible pour lui, et en plus il grouillait de soldats agressifs.

Alors il vit, entourée de soldats qui essayait de l'acculer sous le nombre, une jeune femme dont le visage lui rappelait quelque chose. Myhou, criminelle Stelesi connue!

'Vu que je n'arrive à rien dans cette ville de fous, autant nettoyer ma ville à moi', se dit-il désabusé.

Il se glissa entre deux soldats surpris, et d'un coup plongeant, d'un seul, enfonça la lame de son yatagan dans le dos de la brigande. Elle s'effondra sans comprendre ce qui l'avait frappé, et les gardes n'étaient pas non plus tous sûrs de ce qui venait d'arriver sous leurs yeux.

'Bon, si l'armurerie est introuvable, il va falloir aller exiger la vérité de Calligus Roaney en personne!' gromela-t-il en s'éloignant.

Sans un denier sur lui, la morosité claire sur son visage, Kain partit en quête de la sortie, essuyant attivement son yatagan sur la cape d'un des soldats belerins qu'il avait tué. Il n'avait jamais touché d'être humain avant de se retrouver coincé dans cette cité corrompue, mais c'était un art qui s'apprenait vite en temps de guerre, hélas.

Dernière modification par Kain (20-08-2009 12:46:54)

Qâ et Masch arpentaient les rues à la recherche des meurtriers de Vic. Ils croisèrent un groupe de citoyens qui conversaient et, tendant l'oreille, apprirent qu'une des éminences religieuses de Stella se trouvait non loin : Otto l'Apostat, accompagné de son amie Belakassiah, intrigante et criminelle qui s'était depuis peu refait une virginité.

- Beurk ! Les Stellesi veulent faire pénétrer leurs faux Dieux en ville ! Allons débarrasser Bélérim de cette sale engeance !

Ils se dirigèrent vers eux et Masch, implacable, renvoya Otto caresser son chat à neuf queues. Simplement, les deux frères n'avaient pas pris la mesure de la vaillance et de la dangerosité de Belakassia, puisque Qâ vit son premier coup esquivé. Belakassiah- on ne peut le lui reprocher - d'un geste rapide et adroit vengea son homme  et Qâ connut la douleur du deuil pour la première fois de son existence: Masch était mort. Il réattaqua Belakassiah et lui infligea une profonde blessure.

- Prends ça, gourgandine !

Elle répliqua sans pouvoir atteindre le jeune guerrier et s'enfuit en courant.

- Tu ne perds rien pour attendre, femme...

Dernière modification par Qâ (20-08-2009 15:00:21)

Myhou n'était pas venue avec de mauvaises intentions à Bélérim . Elle voulait elle aussi comme bon nombre de citoyen découvrir la vérité sur le drame qui c'était produit durant le tournoi . D'un pas décidé elle se dirigea donc vers le Palais et entra dans le hall pour commencer à enquêter .

Mais qu'il est grand ce palais !!!!

A l'entrée se tenait un garde . Elle poursuivi son chemin et arriva pres d'un fontaine . Elle pris soin de scruter les environ, soulevant quelques lattes de parquets,qu'elle pris soin de remettre en place, mais....rien...

Cela faisait maintenant plusieurs jours que la jeune alchimistes était dans le palais fouillant chaque recoin , mais toujours aucunes piste.... épuisée pas toute ces recherches , Myhou décida de se poser un instant sur le rebord de la fontaine, regardant l'eau couler ....

Mais, mais où chercher ? Par où commencer ? Rien !! Je ne trouve rien !! Aucun indice....à moins que ....

Myhou soudain eu une idée. Mais avant de reprendre sa quêtes aux indices , elle resta près de la fontaine, bercée par le bruit de l'eau qui coulait elle s'échappa quelques instant dans ses pensée quand ...

BANG !! BANG !!! SPLOUK !!! PLOK !

Ploc ? Myhou se faisait agresser par des soldats .
Hey !! Zetes fous ???? Stop !! J'viens vous aider !!!
Aieuuuuuuuuuuuuuuuuhhh !!!

Surgissant de nulle part et profitant de la situation dans laquelle se trouvait la jeune Myhou, Kain , Guerrier de Stella , assomma la belle sans dire mot .

SCREUGNEU DE SCREUGNEU !!!! Myhou était furieuse !!! S'approchant des portes de Bélérim , Myhou hurlait à qui voulait l'entendre :

Comment avez vous osé ???? Soldats d'Anton et de Bélérim, Kain , citoyens de toutes parts !!! C'est pour vous aider que je suis venue !!
A présent ...aucune aide ne viendra de ma part ni même de celle de mes amis !!
Tremblez !!!
Vous êtes à présent prévenus ! Surveillez vos arrières ! Et veillez à trouver les indices avant qu'on ne tombe dessus et qu'on ne les brûle un par un !!!

Puis Myhou contacta ses compagnons qui étaient en ville pour les prévenir de la mauvaise nouvelle .... qu'elle se trouvait bloquée, à l'extérieur , pendant un certain temps ....

Dernière modification par Myhou (20-08-2009 15:53:41)

LeRige reprenait son souffle après sa folle cavalcade pour retrouver ce couard d'Anton.
C est alors qu il vit un habitant de Stella qui frappait un milicien de Belerim, c est pas qu il portait la milice dans son coeur, mais la en temps de guerre il se devait d aller porter assistance à son compatriote

Eh toi, tu es avec ces chiens d Anton ??
Tu vas regretter d'avoir choisi le camp des traitres

Ne lui laissant pas le temps de repondre ni de réagir, LeRige se rua sur l attaquant du garde et le plongea dans le coma, puis prenant son holoring

Capitaine Umaro, LeRige au rapport, nous n avons pas que ces chiens d Anton contre nous, il semblerait que certains habitants de Stella soit dans leur camp
A partir de maintenant méfions nous de tous ca sera plus sur. Je continue mon exploration pour éliminer les soldats d Anton et porter secours aux notres

LeRige se remit en route, sillonant la ville à la recherche d éventuels ennemis, il savait que certains membres de la garde franche recherchait des indices, mais pour lui seul l action comptait, et puis il savait beaucoup mieux se servir de son épée que de son cerveau

Pendant ce temps là Myhou entra en contact avec d'autres citoyens pour les rattacher à leur cause tout en encourageant Rulk !

Mouhahah ! Bien wouj' Rulkounet !!!
On les avait pourtant prévenus !!! Fallait pas nous chercher non plus !!
Tout ça ne serait jamais arrivé si Kain....

Ronce jugea aussi que c'était le moment de reprendre contact avec la jeune voleuse de la Garde Franche. Elle avait peut-être des informations, il pourrait peut-être la réorienter discrètement vers l'armurerie et puis, il pourrait lui demander de faire jouer ses relations avec la Garde Franche pour qu'aucun mal ne soit fait à Eolia. Les dernières nouvelles que Ronce avait reçu de la jeune femme était, en effet, assez inquiétantes.
Le jeune archer prit son Holoring, modifia un peu sa voix et se lança.

"Olira,
ou dois-je vous appeler Nadriril ? je sais plus moi, vous m'embrouillez ! Z'êtes bien une fille au moins ? hein ?
Ah je sais, vous êtes une voleuse et vous vous grimez ? C'est ça ? C'est ça ? J'ai bon ?

Bon, c'est nul ! Je trouve rien ! J'ai toujours pas trouvé la chambre de la Princesse, c'est absolument horrible comment que c'est grand ici ! Heureusement, y a un garde qui a dit à un guerrier qui a bien voulu me renseigner qu'il l'avait vu se diriger vers l'armurerie ! La princesse Bren, hein, pas le garde ! Faut que je ré-explique ? La princesse Bren, elle est partie à l'armurerie !
Sauf que moi, je sais pas où est l'armurerie ! Et que je sais pas quand la princesse elle y a été. Et je sais toujours pas où est la chambre.
Tiens, je sais même pas où vous êtes passés avec Kordoch et Van Talis ! Je me suis encore perdu ! Heureusement qu'il y a pas trop de gardes !

Et.... Et... Autrement, j'ai eu des nouvelles d'une amie, dehors qui a des ennuis ! Avec de gens qui s'appelle la Garde Franche ? C'est pas vous, ça, la Garde Franche ? J'ai encore rien compris ? Vous pouvez pas faire quelque chose pour elle ? Elle s'appelle Eolia, c'est une rôdeuse et elle a un grand manteau bleu.
Dites, vous pouvez dire à vos amis de pas lui faire de mal ? Parce que Eolia, elle est gentille et c'est ma copine, hein ....

Bon, c'est par où l'armurerie ? Je vous dis si je trouve quelque chose ...".

Dernière modification par Ronce (20-08-2009 20:10:44)

A l'interlocuteur de répondre, se targuant avec modestie d'une divine maitrise des langues civilisées :

Rulk pas comprendre, Rulk toi laisser tranquille sinon rulk sera pas content du tout.

"Mais sur qui suis-je tombée ... Si tous les Stellesi ont telle éducation, ils ne risquent pas d'avoir monter un coup aussi fumeux que ce qu'il vient de se produire !"

Rend moi ma binouze ! j'a d'autres chattes à fouetter !

"Hey ! Il en a de belles lui ! J'ai tout vu, c'est tombé du sac d'Umaro quand les infirmiers son arrivés !
Non mais là, il faut avouer, il a du être bercé trop près du mur celui là !"

Lamia repensa à son premier et unique coma, celui provoqué par un guerrier qui n'avait surement pour seule idée en tête que de profiter de son innoncence ... d'antan.
Auourd'hui, elle se trouvait face à un être sans raison apparente, qui n'avait pour cesse que de se mettre en travers de l'enquête d'après ce que tout un chacun racontait.

Dernière modification par Lamia (20-08-2009 23:49:36)

Erkenbrand écouta attentivement son sergent le mettre au courant de la situation via Holoring :

- De nombreux éléments éléments perturbateurs nous ralentissent grandement à l'heure actuelle. Pas tant les soldats d'Anton que les visiteurs des autres cités qui semblent vouloir faire pencher la balance du rapport de force du coté où leur envie les porte... Le capitaine vient d'être mis à bas par un bandit Stellesi, l'un d'eux même qui avait agressé certains représentants des Oubliés du temps, pourtant leurs compatriotes. Il y a des comptes qui se règlent semble-t-il !
A contrario, les Alchimistes républicains et les Floraliens en général semblent prendre le parti d'Anton et nous chercher noise ainsi qu'aux soldats. Il faut vraiment qu'on obtienne des résultats au plus vite pour ramener la paix ! Et de ton coté, qu'en est-il  de tes recherches ?

- Hum... J'ai eu beau parcourir tant les berges de l'étang que son fond, je n'ai rien trouvé. J'espère que les autres auront eu plus de chance chez ce fameux marchand... As-t-on pu identifier quoi que ce soit dans les cendres de sa correspondance ?

- Pas vraiment... Le jeune Wormir est dessus mais il n'en restait vraiment que des miettes, je ne sais pas si on pourra en trouver un indice. Bon... Puisque tu as fini avec l'étang, rejoins-moi donc, il va me falloir du temps pour étudier le livre et j'ai besoin de quelqu'un pour monter la garde à la Pestule pendant que je me plonge dans ces écritures... Peut-être pourrons nous y trouver quelque informations susceptibles de mettre fin à cette folie !

- Puisse-tu dire vrai, sergent, puisse-tu dire vrai : tout ce sang versé par la seule volonté de quelques individus...

Ca part en couille, ça part en couille, ça part en couille…

Véritable chaos… elle l’avait prédit à Rousse. Tout le monde se fout sur la tronche, et la Garde dans tout ça ? La Garde comme d’habitude reste du côté de Belerim, encaisse stoïquement les coups bas et riposte avec la fureur de l’Ours. L’organisation des Légionnaires, exemplaire, ne permet cependant pas d’avoir l’initiative. C’est souvent les autres camps qui font le premier sang… et qui se font ensuite étriper par le reste des compagnies. Seuls les tirailleurs avaient eu quelques succès fulgurants.

Mais Umaro… mis KO par des salopards de… de quelle ville déjà ? Complètement embrouillé.

Tu pourrais m'y rejoindre pour essayer de me soigner un peu?

Et merde, Vic est dans la mouise.

Demi-tour pour lui porter secours… Et trois gardes d’Anton pour lui barrer la route, deux équipés de longues lances, et un d’une épée courte. C’est lui qui semble être le sergent… Et si leur discipline est similaire à celle de la Garde, il faut taper à la tête.

La jeune femme dégaine ses deux couteaux et attaque brutalement, alors même que le chef d’escouade ouvre la bouche pour lancer un avertissement. La meilleure arme est la surprise. L’homme esquive maladroitement la première lame, Azelnia renverse alors le mouvement de son deuxième bras, et le second couteau vient se planter dans la main du sergent. Sous la douleur, celui-ci laisse tomber son épée. Sans lui laisser le temps de réagir, le Lieutenant lui cisaille sauvagement le bas ventre. Mal en point, l’Antonien prend ses jambes à son coup.

La phalange des guerriers est brisée. Azelnia se rue dans la brèche et poignarde un deuxième garde, qui tombe au sol, mort. Un duel commence contre l’ultime soldat présent. Un coutelas file dans l’air… L’homme regarde ébahi une lame qui est restée plantée dans sa jambe gauche… La jeune femme est déjà derrière lui…

Nouvelle ville, nouvelles moeurs. Krök de Gör avait quitté Six-Fleurs pour Belerim afin de se faire un peu oublier.
Lorsque les incidents avaient commencé, il avait retenu son bras de taper du garde et s'était concentrer sur l'investigation.
Ses nouveaux amis avançaient vite. Il essayait d'en faire de même, et le plus discrètement possible. Les soldats de Belerim comme ceux d'Anton regardaient le géant crasseux d'un mauvais œil, se demandant si son interpellation valait bien de risquer une baffe en retour, ou pire de risquer d'attraper on ne sait quelle maladie que pourrait abriter les replis de ce grand corps odorant.

Calligus Roaney semblait un homme clé dans cette affaire. Krök découvrit un petit pied-à-terre semblant lui appartenir. Petit n'était sans doute qu'une façon de relativiser par rapport à sa demeure principale. Krök n'avait jamais vu si garnd et si luxueux. Intimidé, il entama une fouille en bonne et due forme, en essayant autant que possible de ne pas trop déranger les affaires du riche marchant. Après avoir laissé malencontreusement casser un vase, tâcher un tapis, recouvert de gras les pages de nombreux livres, renverser une bouteille de vin, et peut-être encore plus, Krök découvrit un passage secret ouvrant sur un petit bureau - petit comme dans petit et pas comme dans moins grand, cette fois-ci.

A terre, une lettre. A sa lecture, Krök comprit que l'enquête venait de grandement avancer.

L'homme se releva lentement. S'adossant à un mur, il toucha du doigt le bandage qui lui parcourait le torse, son regard s'animant d'une lueur malsaine.

Je saurai me rappeler de toi,ma chère. Il n'y a rien que je puisse faire à ton encontre pour le moment, mais quand l'heure sera venue, prend garde, toi et ta Belerim auront du mal à s'en relever.

Un frisson lui parcouru le corps. Il ferma les yeux. Ce n'était pas le moment de se laisser aller, il devait retourner en ville. Ses projets n'attendait pas et on comptait sur lui.