#1 15-01-2010 01:24:08

Kriss
Chien cornu
Avatar de Kriss
Coterie: Les Séneçons de la Rose des Vents.
Âge: Plus jeune qu'on ne le croit.
Classe: Archer Ninja
Citoyenneté: Ville Pacifiste Râleur
Voir/Cacher les infos

Une légende (pas très) mirifique

Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé dans le monde d'Arkhan est totalement fortuite.

~~~~~~~La légende~~~~~~~~~~~


Dans un petit village à la périphérie d'un vaste royaume, vivait Gron et sa petite famille, composée de sa soeur et de ses parents. Toute la famille de Gron avait une âme généreuse et était appréciée de tout le village. Gron était lui-même un homme charmant et les damoiselles se retournaient souvent sur son passage en rougissant. De surcroît, il ne déméritait pas à l'épée, apprenant vite et bien, surprenant ses professeurs par son sens aigu du combat. Même s'il n'était pas quelqu'un d'extrêmement intelligent, il compensait cette petite lacune par un dévouement hors pair envers les autres et une gentillesse sans fin. Régulièrement, il partait en chasse pour attaquer les monstres dangereux qui s'approchaient du village sans que quiconque lui demande quoique ce soit. Et il n'hésitait jamais à dépenser ses gains avec les pauvres et les nécessiteux.
Tout cet agréable savoir-vivre, Gron le devait à sa famille, qui, bien qu'elle soit d'origine noble, n'avait pas oublié les bases de l'humilité et de l'amour de son prochain. Gron affectionnait particulièrement sa grande soeur, qui lui rendait son amour en le choyant de milles attentions.
Et ainsi allait la vie dans ce petit village protégé par l'amicale famille de Gron. Mais comme toute histoire a une fin, toute légende a un début tourmenté. Et le tournant de l'infamie se passa par une splendide matinée de la saison des pluies.
Gron avait remarqué qu'un monstre saccageait régulièrement certaines récoltes du village, et à son habitude, avant même que quiconque ne fasse attention à ce détail tant les récoltes restaient abondantes, il prépara à chasser ce trouble-fête. L'animal agissant la nuit, Gron se dissimula dans des buissons lorsque le crépuscule tomba. Il lutta de nombreuses heures contre le sommeil et put enfin voir le vandale. C'était un blaireau. Mais ce dernier n'était pas un simple blaireau, cela aurait été trop simple. Ce blaireau était bien plus gros que n'importe quel autre. Et Gron comprit rapidement à qui il avait affaire : c'était le mystérieux blaireau mangeur d'hommes, il n'y avait point de doutes à avoir. Les anciens du village avaient déjà raconté maintes fois l'histoire de ce blaireau qui avait traumatisé le village il y a bien longtemps, avant même l'arrivée de la famille de Gron. Ce blaireau mangeait des humains et devenait étrangement de plus en plus fort à chaque repas. Puis il avait disparu brusquement. Personne ne savait ce qu'il était devenu, mais peu croyait à sa mort. Il devait hiberner ou s'être trouvé un nouveau terrain de chasse. Mais son ombre planait sur les familles de ses victimes, spectre monstrueux d'une étape douloureuse du village.
Plus jeune, il s'était juré parcourir les plaines pour vérifier cette histoire et chasser la bête. Mais le temps ayant passé et ses recherches ayant été vaines, il s'était résolu à croire que ce n'était qu'une légende. Quelle erreur. La bête faisait la taille d'un gros chien et était impressionnante. Quand elle s'enfouissait et se déplaçait sous terre, des arpents de culture étaient déracinés, sans compter la voracité de l'animal qui avalait les tiges de blé par paquet de trois ou quatre. Mais Gron n'agit pas. S'il attaquait la créature maintenant, le village pouvait être en danger d'une manière ou d'une autre. Alors il attendit, encore et encore que la bête repartisse vers les fourrés.
Puis, aussi discrètement que possible, il la suivit. Sur de nombreuses lieues, il dût se déplacer avec précaution pour ne pas se faire remarquer. Et enfin, quand il jugea que le village ne risquait rien, il bondit sur la bête.

Leur bataille se déroula dans une plaine baignée par un clair de lune fantomatique. Le premier coup fit mouche et la bête renâcla. Mais c'était bien insuffisamment pour l'abattre, Gron s'en doutait. Le combat fut long et dur, empli de cris de l'homme qui se faisait blesser et des chevrotements de la bête. Gron faillit perdre plusieurs fois pied, mais à chaque fois, il sut garder sa conscience et sa contenance. Son envie de protéger le village surpassait ses douleurs. Et pendant de longues heures, la bataille fut. Jusqu'à ce que dans un long râle qui fit frissonner Gron, la bête s'enfuit, mortellement blessé par un coup d'estoc. Bien qu'éreinté, Gron se lança à sa poursuite. Il devait s'assurer de sa mort à tout prix. La bête s'était enfouie pour fuir, mais il était facile de la suivre, elle laissait une ligne claire de terre retournée sur le sol.
Et enfin, Gron arriva à son terrier, son antre. Il plongea dedans alors que la lune disparaissait à l'horizon. S'éclairant à l'aide d'un morceau de bois qu'il trouva à l'entrée, il plongea dans les ténèbres. Et au plus d'elles, il retrouva la bête qui rendait son dernier souffle. Elle émit un hurlement de protestation, mais l'épée de Gron s'abattit violemment sur sa tête, la tuant net. Gron s'affala, épuisé. Il eut besoin de plusieurs dizaines de minute pour reprendre des forces. Il était exténué de ce marathon. Ayant recouvré des forces, il allait repartir quand un mouvement attira son oeil. Deux jeunes blaireaux qui étaient certainement jumeaux le regardaient d'un air hargneux. Comparé à la bête, ces derniers étaient de taille normale. Gron hésita. Devait-il les abattre ? Vu leur taille, ils n'avaient sans doute commis aucun crime. Il ne pouvait les tuer sans raisons. Les deux animaux semblaient être suffisamment forts pour survivre seuls. Gron les regarda longuement, les tenant à distance avec son épée. Les animaux grognèrent. Ils restèrent en chien de faïence. Puis, Gron baissa son épée. Il n'avait coeur à s'en prendre à ces jeunes bêtes. Il leur jeta quelques graines qui traînaient dans sa bourse et partit. Les animaux reculèrent son dos pendant de longues minutes avant de manger les graines.

Une fois à l'extérieur, Gron eut la satisfaction de sentir l'air frais sur son visage. Même s'il était recouvert de sang, il se sentait apaisé. Il mangea un peu de viande séchée qu'il gardait en réserve et put ainsi recouvrer quelques forces. Il se mit en route vers son village tandis que la nuit abordait sa partie quand ni le soleil et ni la lune sont présents. Le voyage de retour fut sans soucis et l'aube pointait tandis qu'il était presque arrivé à son village natal. Ce fut à ce moment que son regard découvrit une réalité terrifiante : ce qu'il avait pris pour un épais nuage, n'était autre que la fumée d'un gigantesque incendie qui émanait de la direction du hameau. Ni une, ni deux, Gron, revitalisé par la peur, se mit à courir à toutes jambes.

La vision d'horreur se découpa rapidement à travers les buissons, un brasier gigantesque parcourait les lieux de son enfance. A chaque pas le rapprochant du lieu du drame, il distinguait avec effroi que les points noirs aux abords du village qu'ils prenaient pour des morceaux de bois brûlés, étaient les corps des villageois. Ivre de douleur face à cette découverte, il précipita sa course. Le petit village était dans un chaos indescriptible. De nombreux corps parsemaient les rues tandis que les flammes finissaient de lécher les dernières poutres noircies. Le soleil se leva sur une scène de désolation qui atteint son paroxysme quand Gron découvrit les cadavres de ses parents. Il hurla sa tristesse d'une telle force que les oiseaux s'envolèrent à des lieux à la ronde. Ne voyant sa soeur nul part, il parcourut le village dans tous les sens, mais rien n'y fit, elle n'était pas là. Gron espéra secrètement qu'elle était encore en vie, même s'il en doutait. Désespéré, ne sachant où la chercher, il fit la seule chose qui lui sembla juste de faire : enterrer les morts.

Complètement déboussolé, il creusa avec ses mains et son épée sans relâche. Les larmes creusaient de profonds sillons sur son visage imberbe empli de poussière. Tout affairé et concentré à sa tâche, il ne remarqua même pas que des rescapés sortaient des bois voisins et l'aidaient dans sa tâche. Et la journée se passa ainsi, sous un magnifique soleil ce qui était pourtant rare en cette saison, comme si ce dernier voulait saluer avec tristesse l'infâmie qui avait eu lieu. Quand la nuit tomba, Gron, sa tâche exécutée, s'effondra avec avec elle. Les villageois prirent soin de lui et le soignèrent du mieux qu'ils purent. Gron resta alité pendant une semaine, avec des accès de fièvre qui lui faisait raconter des choses folles. Certains crurent qu'il allait sombrer définitivement dans la démence. Mais l'esprit de Gron n'était pas prêt à vaciller définitivement pour si peu. Quand enfin la raison lui revient et qu'il eut regagné ses forces, les villageois lui expliquèrent ce qu'il s'était passé. Gron s'en doutait déjà, mais il avait besoin de l'entendre.

Pendant son absence, des bandits avaient débarqué et mit le village à feu et à sang. Et ils avaient emmené nombre de jeunes filles, dont sa soeur, sûrement pour les revendre en tant qu'esclave. Malgré le retard qu'il avait pu prendre sur eux, Gron savait déjà ce qu'il allait faire : se lancer à leur poursuite. Les villageois tentèrent de le dissuader, mais ils se rendirent vite compte que c'était peine perdue.
Mais Gron n'y allait pas pour se venger. S'il y avait une leçon que ses parents avaient profondément ancré dans son coeur, c'était bien celle-là : la vengeance est mauvaise conseillère et ne fait qu'apporter le malheur. Tout ce que Gron voulait, c'était de retrouver sa soeur. C'était la seule chose qui lui importait actuellement, même si son coeur saignait d'abandonner son village dans cet état.

Les villageois piochèrent dans leurs maigres provisions qui leur restaient après l'attaque pour lui donner de quoi vivre quelques temps, mais Gron déclina poliment. Il se débrouillerait en route et eux-mêmes en avait bien plus besoin que lui. Gron se rendit sur la tombe de ses parents pour leur rendre un dernier hommage avant de partir. Et c'est ainsi qu'il s'en fut sous le regard attristé des villageois qui se rendaient compte que son départ laisserait une perte immense en leur sein. Mais ils ne voulaient aller contre sa volonté, ils jugeaient qu'ils n'en avaient le droit. La seule chose qu'ils espéraient, c'est que Gron leur revienne en vie avec sa soeur. Ils firent donc la seule chose qu'ils pouvaient faire, prier pendant de nombreuses heures pour que le voyage de Gron se passe sans encombre.

C'est ainsi que le jeune et futur grand chevalier s'en fut, accompagné sous terre par deux jeunes blaireaux....


~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est la volonté délibérée de l'auteur d'inculquer des images totalement fausses de ses compagnons et d'autres personnes... et de rétablir la vérité sur cette légende fictive et ce, même si la vérité est aussi fictive que la légende. Personne ne connaît cette vérité. Tout le monde connaît la légende.

~~~~~~~La vérité~~~~~~~~~~~


- Burp.
- Gron, t'es vraiment qu'un sale porc !
- Oh, boucle-la femme et ramène-moi une bière, j'ai terminé la mienne.
- Même pas en rêve saleté ! Tu crois que je vais me bouger pour une sale larve comme toi ???
- Et oh, tu causes meilleur à ton frère, sinon j't'en colle une !
- Faudrait déjà que t'arrive à traîner ton gros ventre jusqu'à moi, morveux !
- Mais je vais vraiment finir par t'en coller une, sale garce !
- Quand je pense que je partage le même sang que toi, ça me dégoûte !
- Grognasse.
- Looser.
- La ferme les mômes où je vous jette aux loups ! J'ai déjà balancé le dernier-né, je ne suis plus à ça près !
- Mais papa, c'est encore Gron qui...

- Tiens, la famille de Gron remet ça.
Ses paroles lâchées par un type qui passait dans la rue, résumait bien le sentiment des habitants du village. La famille de Gron n'était qu'une plaie. Ils passaient leur temps à hurler, piochaient sans remords dans les réserves du hameau prévu pour anticiper les famines, volaient, mentaient à tout va pour semer la zizanie, bref, c'était un gros abcès empli de pus. Les villageois auraient bien voulu les chasser, mais leur sadisme et leur violence les dissuadaient de s'en prendre à eux. Les villageois n'avaient d'autre choix que de supporter ces rustres qui passaient leur temps à hurler et avaient autant de morale qu'un clou tordu.
Le pire de la famille était sans aucun doute Gron qui ne faisaient que mater les filles par la fenêtre en buvant des bières et en leur faisant des propositions salaces. Elles avaient pris l'habitude de contourner la rue, mais il arrivait que Gron sorte de chez lui. Il passait son temps à essayer de peloter les filles en rusant pour les approcher. Même s'il échouait souvent, car les filles le repéraient rien qu'à l'odeur de bière rance qui habitait aussi bien ses habits que son haleine.

Dire que cette famille était une plaie était bien loin de la réalité au final. C'est pourquoi, malgré leur peur, les villageois se décidèrent à se débarrasser d'eux d'une manière ou d'une autre. La famille de Gron avait, heureusement pour eux, oublier d'être bête, et c'est pourquoi ils sentirent le vent tourner. Il fallait trouver un moyen de sauvegarder en partie leurs fesses. Et ils eurent une très bonne idée de leur point de vue.

- Hé Gron !
- Quoi la chieuse ?
- J'ai un truc qui va t'intéresser. Tu devrais bouger ton gros cul de ce fauteuil et filer à l'orée du bois.
- Non mais t'es pas bien ou quoi ? Il me faudrait plusieurs heures pour y aller ! La flemme totale !
- Dommage, y'a une fille qui m'a dit qu'elle t'y attendrais les jambes écartées. Elle veut servir de fourreau à ton épée.
- WHAAAAATTTT !!!!????? Tu te fous de moi là, c'est ça ?
- Bah non, regarde, elle m'a même laissé un mot pour toi.

Gron bondit de son fauteuil et arracha le morceau de papier des mains de sa soeur. Quand il vit le nom de l'expéditeur, il s'exclama :

- C'est cette bonnasse-là ? J'y file fissa !

Et Gron partit aussi vite qu'il put, c'est-à-dire à une demi-lieue à l'heure au lieu de rencontre sous le sourire sadique de sa soeur. Il est bien entendu évident qu'il n'y avait personne sur place. Il revint sur ses pas en jurant tous les mots qu'il connaissait, c'est à dire très peu. Une fois revenu au village, la nuit était tombée entre temps, il bondit dans sa maison en vociférant. Mais il n'y avait plus personne. Rien. Nada. Que pouic.  Il trouva juste une lettre de sa soeur qui lui disait en substance ceci : "Ca commence à puer dans le coin, on a décidé de se casser. Toi, tu vas servir de défouloir aux villageois. On a pillé les réserves et on y a mis le feu en faisant croire que c'est toi le coupable. Démerde-toi sale merdeux, et tâche de mourir vite. Enfin non, meurs pas trop vite. Comme ça, les villageois ne nous poursuivront pas. PS : j'ai brisé et piqué toutes les bières de la ville, ça t'apprendrera noob !"

- Oh les enfoirés ! Et c'est quoi cette fumée !

Tout occupé à ses affaires, Gron n'avait même pas remarqué que la moitié du village était en feu. Pire, les villageois encerclaient sa maison l'air furibard - il y avait effectivement de quoi être énervé.

- Et merdeuh...

Cherchant un coin où se mettre courageusement à l'abri, Gron bouscula la table où trônait une grande bougie phallique. Cette dernière tomba et roula au sol. Elle finit sa course sous le fauteuil préféré de Gron, qui respirait tant la bière qu'il s'enflamma aussitôt.

- Et merdeuh !

Le fauteuil en brûlant, jeta le feu sur les rideaux. Qui mirent le feu aux poutres. Qui elles-mêmes mirent le feu à l'ensemble de la maison. La crasse qui s'était accumulée dans cette dernière au fil de multiples années sans nettoyage se révéla être un excellent combustible et transforma le feu en gigantesque brasier.

- ET MERDEUH !

On peut le dire, Gron n'était pas dans la meilleure des positions, coincé entre le feu et les villageois furieux. Mais il n'avait beau avoir rien fait ces dernières années, il avait plus d'un tour dans son sac. Il récupéra des bouteilles vides et avala les fonds de ces dernières. Puis, il prit une bouteille dans chaque main et sortit.

- Craignez moi car je suis le descendant des démons qui ont provoqué le Grand Fléau !!! GRAOUUUUHHHHH !!!!

Les villageois hésitèrent. Non pas à cause du "GRAOUH", mais parce qu'une famille de psychopathe comme celle de Gron aurait effectivement pu créer le Grand Fléau. Ni un, ni deux, Gron frappa lourdement le type le plus proche de lui. Les zestes d'alcool qu'il venait de boire décuplait sa force et suffit à assommer le villageois. Il ne faut pas croire, mais Gron avait de la force. Cette dernière était originaire de sa passion pour les bières. Quand on lève le coude 1000 fois par jour pour boire ce doux breuvage, ça muscle l'air de rien. Histoire d'impressionner encore plus les villageois, il se mit à vociférer n'importe quoi en balançant les bras dans tous les sens. Puis, il cracha les restes de bières qu'il avait avalé. L'infâme puanteur qui en ressortit fit chavirer le coeur des plus endurcis. Et Gron en profita pour s'enfuir. Les villageois allaient le poursuivre quand ils virent que le feu qui avait pris dans la maison de Gron allait vite brûler la partie de la ville encore intacte. La rage au coeur, maudissant 1 0000 000 de fois la famille de Gron, ils le laissèrent partir.

Une lieue plus loin, Gron put enfin se reposer. C'est alors qu'il remarqua du mouvement à côté de lui. La cause en était deux blaireaux. Il les assomma fissa et les mit dans sa gibecière. On sait jamais, ça pourrait servir après, et avec ça, il était paré pour poursuivre sa famille. Oh, pas pour se venger de sa famille, il aurait pu faire la même chose à eux s'il en avait eu la nécessité, mais parce qu'il voulait récupérer ses chères bières que sa soeur lui avait volé. C'était une question de principe. Dans la vie, il faut savoir avoir le sens des priorités.

Et c'est ainsi, cahin-caha, que Gron commença sa grande (?) aventure accompagné par deux blaireaux.

Dernière modification par Kriss (15-01-2010 04:58:53)


*crisse*
*crisse*
Fondateur du CSFPMFARCUAQSPTSPGLBVPQPS!H! o/

Hors ligne

 

Pied de page des forums

Retour sur le jeu Arkhan