Forum Arkhan

Onze Légionnaires, onze légionnaires avec à leur tête une jeune femme, cheveux longs et argentés au vent.

Azelnia regarde autour d’elle, observe son accoutrement. Une armure de cuir souple brune, protection efficace tout en étant discret, lui couvre tout le poitrail. Pas question de défier Trex avec un équipement inapproprié. A sa ceinture, elle a passé deux fourreaux, chacun contenant une lame prête à servir le cas échéant. Jetée sur ses épaules, une large cape de tissu noir portant l’emblème de la Garde, un immense Corvus Corrax rouge sombre. Ses bottes de cuir noir martèlent à un rythme militaire la route qui mène au Palais de Belerim.

Derrière elle, une escouade de Garde triée sur le volet l’accompagne, la plupart équipés de lances et de boucliers, quelques uns d’arcs. Arrivée devant les portes, elle fait signe à la phalange de faire halte. Donne quelques ultimes ordres à l’adresse d’un sous-officier, et prend la direction du Hall.

Une fois à hauteur des soldats chargés de la défense et de la protection du souverain, elle se présente.

Lieutenant Azelnia, de la Garde Franche.  J’ai une audience auprès du Roi. Les autres diplomates de la Légion ne vont pas tarder à arriver, occupé pour le moment à combattre l’invasion d’Anton. Je vais les attendre.

Ronce pénétra dans le grand hall du palais. Il devait retrouver Otto, du talion de Stella ainsi que sa chef, Lyraa. Ils avaient des éléments à présenter au roi Trex 1er, des éléments qui viendraient compléter ceux amassés par la Garde Franche.

Le jeune archer s'approcha d'un garde, afin de se présenter et demander si ses amis, ou la Garde Franche, étaient arrivés.
Malheureusement, le soldat bélérin réagit stupidement, comme trop souvent depuis le début de ce conflit : il tira son épée et attaqua dans un grand cri de rage.
Ronce esquiva de justesse, récoltant une estafilade, et frappa l'entrejambe, violemment ! Cri coupé ! Plutôt une sourde plainte désormais. Puis il assomma le garde et le traina dans un coin sombre où celui-ci pourrait méditer longuement sur l'absence de descendance.
N'empêche, Trex 1er devait être une souverain cordialement détesté par son peuple pour s'être entouré de gardes aussi paranoïaques. En même temps, le souverain avait complètement négligé ses devoirs d'hôte donc on ne pouvait pas trop en demander à ses soldats, non ?

Toujours est-il que Ronce fut beaucoup plus prudent en abordant un autre garde.

Dernière modification par Ronce (02-09-2009 18:59:53)

Des cris retentirent dans les rues de Bélérim. Y avait-il encore des passes d'armes sous le chapiteau?
Hélàs, non. Les joutes étaient réelles et en pleine ville.
Lyraa, alchimiste de Six Fleurs venait d'être attaquée par Marie Jeanne, jeune archère intrépide et maladroite. Lyraa esquiva sa flèche imprécise. Marie Jeanne avait-elle usé de trop de plantes curatives, sa vue s'était-elle troublée au moment de décocher son trait?
Son compagnon, Maruk, par contre frappait par trois fois la valeureuse Azelnia de la Garde Franche. Ses coups dans le dos eurent raison de la malheureuse. Et les cris alors cessèrent.
Belakassiah avait assisté à ces deux scènes sans broncher, impuissante au moment de l'acte.
Aussi, s'armant de patience et de la Talion, la Rousse de Stella put surprendre Marie Jeanne, bandit notoire qui ne put que constater l'ampleur des dégâts. La belle Vengeresse s'apprêtait à porter un coup fatal à Maruk, bandit rusé et chanceux. Ce dernier sut par miracle éviter le coup qui lui était donné ; la Talion pour la première fois ne put faire mouche. Azelnia ne serait pas ici vengée.
Cela n'était que partie remise.
Les bruits s'estompèrent... laissant là Belakassiah bien songeuse.
Une chose était certaine : le preux archer Maruk courait encore au Sud Est de la ville, ne reprenant son souffle que pour boire une chopine ou deux, à la mémoire de sa douce Marie Jeanne.
Les choses étaient ainsi à Bélérim... répandre le sang pour un motif que l'on croyait juste... appât du gain, récompenses, guerre, vol...
La ville bientôt retrouverait ses couleurs d'antan... car Belakassiah savait que d'autres qu'elle s'activaient en ce sens.

Et ses pensées s'égarèrent...

Depuis le début du conflit Tobias s'était défendu quelques fois mais il s'était surtout fait discret, il évitait les zones de combat pour fouiller la ville et sa rencontre avec la Garde Franche s'était bien passé, des bons gars.
Le conflit enflait et ses efforts pour calmer les choses du coté Antonin n'était pas vraiment couronné de succès. Il était en contact avec la Garde Franche et Lyraa de Six-Fleurs pour essayer d'apporter son aide.
Mais visiblement un Soldat ne souhaitait pas le voir se balader dans sa ville, le combat fu rapide et Tobias perdit connaissance, à son réveil il avait reçu un holoring de son agresseur.
"Blablabla navré blablabla rien de personnel blablabla conflit."
Bref, Tobias envoyait sa réponse en gros:
"Tres bien j'arrête de faire de la diplomatie. Débrouillez vous."

Mais bon, Tobias était déçu, il n'a jamais aimé la violence.
"Bon je quitte cette ville, ils s'en sortent tres bien sans moi."

Un garde vint se présenter dans la salle, lorsqu'il obtint l'autorisation de parler, il annonça :

" Messire, un représentant de la Garde Franche s'est présenté aux portes, mais il s'est fait cribler de flèches avant de rentrer dans le château et a sombré dans le coma. Ils vont certainement envoyer un autre de leur membre, d'après sa délégation. "

Le Roi parut agacé par la nouvelle :

" Trouvez le coupable et abattez-le ! Et amenez-moi un membre de la Garde Franche plus solide, de force si nécessaire... je n'aime pas attendre. "

Quintilius terminait sa bien trop tranquille journée de négociation, en compagnie d’une charmante Floralienne du nom d’Eolia.
Il s’abritait sous le porche du bâtiment de la Garde Franche, palabrant avec Kiko, marchande fort sympathique d’Anton, des mille et unes manières de rabaisser un prix, lorsqu’une troupe de soldats du roi s’approchaient à pas décidé. Huit, peut être dix hommes, dans des armures il y a peu rutilantes. Depuis, la guérilla, puisqu’il s’agissait plus de cela qu’une guerre à proprement parlé, faite d’escarmouches, d’embuscades, et de coup fourrés aux quatre coins de la ville, avait fait son œuvre, et ces armures jadis étincelantes, aux ornements flamboyants et majestueux, laissaient place à une couche de poussière rendue glaise par les jeunes pluies de la saison humide débutant.
Cette escouade était visiblement commandée par un garde personnel du roi, à l’air déterminé et inébranlable. Nul ne savait encore ce qu’il voulait par ici, mais il semblait sur que cet homme parviendrait à ces fins.
Quintilius n’en avait pas oublié la jeune Kiko, antonienne de son état.

-Rentrez à l’intérieure, antonienne. Vous ne souhaiteriez pas vous retrouver aux geôles comme prisonnière de guerre, chuchota-t-il en joignant de ses bras les deux montants de la porte d’entrée, ouvrant largement ses pans de robe, dissimulant ainsi derrière la jeune Kiko, qui était si étrangère à ce conflit.

Puis, reprenant une posture plus conventionnelle, mains jointes devant lui, bras ballant, il attendait dignement la venue de la troupe, qui se dirigeait maintenant clairement dans sa direction.

-Viel homme, nous cherchons le bâtiment de la garde franche. Veuillez confirmer qu’il s’agit bien de cette bâtisse. Le garde personnel du roi avait pris la parole. Sa longue cape bleu ciel, aux couleurs du royaume, trainait par terre, l’extérieur de la ville n’était pas aussi soigneusement pavé que les larges rues de traverse bélérines.

-Messieurs ….. Vous êtes au bon endr…

-PARFAIT ! Coupa le responsable. Une certaine Azelnia, second de votre groupuscule, s’apprêtait à se rendre auprès du roi, mais elle a été malencontreusement tuée aux abords du château. Il nous faut donc un autre responsable, pour répondre aux questions de notre Roi.
Parle, et vite !

- Hé bien …. Hum hum, je me nomme Quintilius Rousse. Responsable d’un petit groupe de fiers et talentueux artisans. Je crois pouvoir dire sans trop me fourvoyer, avoir un role non négligeable dans cette coterie, dit-il en tapotant la poutre de bois qui supportait le auvent abritant les protagonistes de la pluie battante.

-T’es un « responsable », donc, comme il a dit le roi. Suis nous, vieillard, et pas de discussion. Ordres de Trex 1 ier.

-K’T ! K’T ! un rictus terrible figea soudain le visage du vieux marchand, la tete collée à son épaule droite. Le corps aussi raide qu’un bout de bois, comme foudroyé, il semblait incapable d’effectuer le moindre mouvement.

-ET VOUS VOUDRIEZ QUE JE VIENNE VOIR NOTRE BON ROI DANS CET ETAT ! FOUS ! hurla soudain le vieillard, qui avait repris pleine possession de ses moyens. Ecarte, il vociférait, poings serrés, bouche béante, veines gonflées et tendues.
-Ce serait le plus grand DÉSHONNEUR de me présenter à lui de la sorte. JAMAIS !

Les gardes étaient déjà en route. Visiblement surpris par la réaction du vieux Rousse, ils se retournèrent rapidement, dégainant prestement épées et lances.
-Eh, toi, pas d’histoire hein ! Le roi a dit "j'aime pas attendre".

Quintilius, écumant de colère, se contrôlait peu a peu. Joignant les mains, mimant une prière à un quelconque dieu :
- Laissez-moi la nuit, quelques heures même, pour me préparer et rassembler mes affaires.

Le garde du roi jaugea de l’état du marchand, qui s’était vouté pour paraitre plus miséreux.
Après quelques secondes, il émit un petit grognement réprobateur.
-Allez va. Je dirai au roi que j’ai eu du mal à te trouver.

-Grand merci seigneur, s’empressa de conclure le marchand, l’échine courbée.

Les gardes restaient circonspects. Quel était cet homme, tantôt imposant, tantôt moins que rien, si insaisissable, passant de la colère a la pitié, inspirant méfiance et respect.

-Je viendrai te chercher à l’aube. ET TACHE D’ETRE PRET, aboya le garde, visiblement mécontent d’avoir offert une telle possibilité au marchand, pensant après coup des conséquences possiblement fâcheuses de son acte.

Ronce avait rejoint messire Otto, du Talion de Stella dans le grand Hall du Palais.

Cela n'avait pas été sans mal car les différents gardes qu'il avait approchés pour se faire annoncer, étaient plus prompts à tirer l'épée qu'à faire fonctionner leur cerveau ! Un grand n'importe quoi ! On vient pour apporter au roi des éléments indiscutables de l'existence d'un complot et on se retrouve à devoir esquiver les coups des gardes ! Et tout cela alors même qu'on est censés être des hôtes de la cité !
Et, malheureux, n'allez surtout pas vous défendre, ou certains abrutis en prendront prétexte pour vous attaquer sans sommation en vous traitant de "tueur de bélérins" ! En gros, vous aviez le choix entre vous faire tuer ou vous faire tuer ! Ronce s'en souviendrait, du chaleureux accueil bélérin !

Enfin, Ronce avait réussi à passer à travers les obstacles et attendait l'arrivée de Lyraa et de Azelnia de la Garde Franche. Azelnia, peut-être, sans doute, la seule personne de réellement valable dans cette coterie de mercenaires, d'assassins et de bandits. Ronce s'était acharné à maintenir un dialogue avec elle, malgré tout, malgré les tensions grandissantes, malgré une opposition certaine au sein de sa propre coterie. Le jeune archer attendait beaucoup de l'entretien entre les différentes parties concernées devant sa majesté Trex 1er. Peut-être que ses efforts et ceux d'Azelnia, qu'on leur avait tant reprochés, seraient enfin récompensés.

Soudain, une agitation parcourut les pages et les serviteurs du palais. Des rumeurs graves circulaient, confuses. Lyraa, agressée devant le palais, Azelnia, très gravement blessée, peut-être tuée. De nouveaux combats entre les éléments les plus indisciplinés de la Garde Franche et certains stellesis qui avaient cherchés à chatier les agresseurs de Lyraa et Azelnia. A croire que certains de la Garde Franche voulaient faire capoter toute négociation ! Et comment Azelnia, accompagnée par une douzaine de légionnaires de la Garde Franche avait-elle pu être attaquée ? Ces fameux mercenaires si fiers d'eux même semblaient avoir été en dessous de tout !

Ronce ne comprenait plus rien sinon que, Azelnia blessée ou morte, les chances de résolutions du conflit ou de dénonciation du complot s'amenuisaient !
Tout semblait perdu !

Dernière modification par Ronce (04-09-2009 07:40:33)

Belakassiah réajusta sa tenue, essuya quelques poussières ça et là ; sa lame était rangée au fourreau, prête à mordre si le besoin s'en faisait sentir. Elle rejoignit ses amis, dont Ronce un archer Floralien ; son élégance témoignait d'un niveau social autre que les gredins Belerins et Antoniens croisés jusqu'alors. Ces deux "tribus" se distinguaient surtout pour leur propension à tomber en gémissant. Le retour à la civilisation serait un grand bonheur... et Belakassiah songeait déjà à prendre quelque repos dans une cité saine comme Six Fleurs.
La rousse sourit intérieurement ; l'épilogue de cet épisode du Tournoi marquerait son retour bienfaiteur... l'air en ces murs était chargé de vices, et d'odeurs métalliques et de sang ; un air devenu plus que malsain.
Aaaah... Stella...

Hennet avait entendu parler de la réunion avec le roi. C'était Ronce qui l'avait mis au courant. Hennet n'allait pas laissé une telle occasion, pour une fois qu'on partageait des informations autres que des rumeurs. Il comptait bien y participer, après tous les efforts et l'énergie dépensait pour faire avancer cette enquête, bien que le faible partage des informations ne lui avait pas permis d'en apprendre beaucoup, mais sa volonté de faire revenir le calme dans le royaume était forte, et il ne laisserait pas tomber comme çà, bien que ces amis lui manquaient beaucoup.
Il avait rejoins Ronce et Lyraa dans le hall du palais. on l'avait prévenu que le lieutenant de la Garde Franche, Azelnia devait être présente elle aussi, mais qu'elle avait été sauvagement attaquée et qu'elle avait dû être amené aux urgences. Hennet espérait qu'un autre membre de la GF serait là, car il souhaitait que tous les enquêteurs soient là, cela n'en sera que plus bénéfique pour les conclusion de l'enquête.

Maintenant, Hennet attendait avec les autres d'être reçu par le roi, en espérant qu'il n'y aurait pas d'autres attaques...

Dernière modification par Hennet (04-09-2009 15:35:36)

Un groupe bien hétéroclite s’était formé dans le grand hall du palais royal. Alors qu’ils attendaient que la Garde Franche daigne répondre à la convocation du roi Trex 1er, un activiste pour la paix entre les deux grands royaumes était venu leur témoigner son désir d’appuyer leur démarche. Après que Ronce (qui connaissait décidément beaucoup de monde) leur ait présenté ce nouveau venu, ils conclurent qu’attendre davantage l’entrée de la Garde Franche serait jouer leur jeu, et se dirigèrent vers les portes de la salle du trône. Ils furent bien vite arrêtés comme prévu par une forêt de hallebardes.
Otto tint alors ces paroles :

    "Soldats, allez prévenir sa Majesté Trex 1er que les Artisans de la Paix demandent humblement à participer à l’audience qu’il a accordée au Gardien de l’Intégrité de Stella et aux Lieutenants de la Garde Franche.
    Cette demande est portée par la Voix d’Otto, Elu du Temple de Neuf Queues, accompagné de son indissociable Lame du Talion et de Kain, le plus valeureux guerrier que Stella ait accouché, comme preuve de la volonté de la Cité des Astres à trouver une issue rapide et sans douleur aux troubles qui agitent les deux Grands Royaumes.
    Nous sommes alliés dans cette entreprise avec la Cité-Etat de Six-Fleurs, par l’entremise des Alchimistes Républicains, à travers la Clef de Voute de cette enquête, l’énergique Ronce, et le Puits d’Information, la précieuse Lyraa.
    Afin démontrer notre neutralité dans ce conflit, nous tenons également à faire entendre l’avis d’un représentant de Bélérim avec qui nous avons collaboré. Hennet, Diplomate de Stomy, saura mieux que nous exprimer un autre avenir possible que celui que la Garde Franche laisse entrevoir.
    Tous réunis en ces termes, nous prions sa Majesté de nous laisser une  chance de présenter les éléments d’enquêtes que nous avons rassemblés, pour les confronter ou compléter ceux que la Garde Franche voudra bien vous présenter. Nous jugeons notre connaissance de l’intrigue assez consistante pour qu’elle attise l’intérêt du Roi de Bélérim."

Dernière modification par Otto (05-09-2009 16:16:14)

Dans le doute, Kain regarda par dessus son épaule. Mais non c'était bien à lui qu'on s'adressait.

" Euh, non moi j'ai jamais demandé à voir le roi, je fais juste escorte aux représentants de ma cité, les sieurs Otto et Syrus."

Il réfléchit quelques secondes.

"A la limite j'ai receuilli une information de première main sur les événements à l'armurerie qui ont précédé le combat. Mais Ronce ici présent peut rapporter ce que j'ai appris aussi bien que je le ferai. Si jamais le roi a besoin de mon témoignage je suis à son entière disposition, dans l'espoir que je puisse finir par rentrer chez moi à la fin de cette sombre affaire."

Intérieurement, Kain leva les yeux au ciel, même si il montrait tous les signes extérieurs de respect. Un simple chasseur de blaireau et un roi, l'idée ne sonnait pas vraiment juste. En plus pour ce qu'il avait vu des belerins, il n'avait aucune envie de rencontrer celui qu'on nommait leur roi, des fois qu'il incarne le pinacle de leurs(nombreux) défauts. De plus c'était lui qui avait amené Stellesi et Floraliens entre les machoires d'un ignoble piège, violant diplomatie et bon sens d'un simple trait de plume. Attendre dans le Grand Hall allait fort bien au guerrier.

Ronce regarda le garde, puis Lyraa avant de revenir vers le garde.

" Pardon, mais je crains que je ne sois pas à ma place devant le roi. Pour ma part, mon but est atteint : que des représentants des différentes coteries se retrouvent afin de présenter les divers éléments du complot mis à jour, car complot il y a eu. Mais ma supérieure, Lyraa, sera bien plus à même de remplir cette tâche. Pour ma part, je vais attendre ici en compagnie de Kain et Belakassiah la fin de l'audience. Bien évidement, si le roi souhaite ma présence, je reste à sa disposition ici même."

Sur ce, Ronce se dirigea vers les deux autres stellesi et observa la partie d'osselets.

Dernière modification par Ronce (05-09-2009 17:17:11)